Bienvenue sur mon site
Pour pouvoir me consacrer exclusivement à la médecine de l'appareil locomoteur (Os, muscles, tendons, articulations, colonne vertébrale...) , au suivi de l'entrainement et à la nutrition des activités physiques, je ne pratique pas la médecine générale depuis la fin de mes études médicales.
Il est donc nécessaire que mes patients aient un médecin traitant généraliste.
Je pratique une approche personnalisée, globale, intégrative, transdisciplinaire et en équipe pluridisciplinaire de la prise en charge médicale des douleurs musculaires, articulaires et vertébrales liées (ou non) aux activités physiques, sportives, artistiques ou professionnelles.
Ma démarche se base:
Je préconise systématiquement une adaptation de l'activité jusqu'à la guérison .
Si l'arrêt est nécessaire je recommande toujours une ou plusieurs activités de remplacement.
J'accompagne la reprise après guérison, éventuellement avec un plan de réentrainement.
Ceci dans le cadre d'un travail en équipe avec d'autres professionnels de santé, sélectionnés pour leur haut niveau d'exigence et de compétence.
J'attache une attention toute particulière à la prévention des récidives par l’éducation et l'information des patients sur les causes de leurs problèmes.
Cette approche résulte de ma longue expérience de la médecine du sport et en particulier du suivi médical des sportifs de haut niveau. Mais aussi de mes recherches dans le domaine des causes des symptômes, des interactions entre les différents systèmes de l'organisme et aussi entre l'organisme, les habitudes de vie et l’environnement, au sens large, du patient .
Elle a été influencée par mes formations complémentaires ( Cf partie "Cursus") et mes échanges avec d'autres thérapeutes, médecins et auxiliaires médicaux (podologues, orthoptistes, optométristes, dentistes, ostéopathes, kinésithérapeutes, psychologues, psychiatres, enseignants de yoga ou de chant etc...).
Ma pratique sportive personnelle intensive depuis l’enfance et les blessures, les soins reçus et les interventions subies dans ce cadre ont également contribué à ma compréhension des pathologies et du ressenti des personnes qui souffrent de leur appareil locomoteur .
Il est donc nécessaire que mes patients aient un médecin traitant généraliste.
Je pratique une approche personnalisée, globale, intégrative, transdisciplinaire et en équipe pluridisciplinaire de la prise en charge médicale des douleurs musculaires, articulaires et vertébrales liées (ou non) aux activités physiques, sportives, artistiques ou professionnelles.
Ma démarche se base:
- sur l'écoute du patient,
- sur l'analyse biomécanique de sa posture et de ses mouvements
- sur un examen médical clinique complet, en particulier articulaire, musculaire et ostéopathique
- sur un diagnostic précis
- sur la détermination des causes biomécaniques, matérielles, ergonomiques, gestuelles et posturales des problèmes des patients dans une approche multimodale
- sur le recherche de leurs facteurs favorisants et déclenchants, dans différents domaines
- sur la prise en compte du contexte global général du patient dans son écosystème,
- d’ accélérer la guérison ,
- de réduire ou d’ éviter l’arrêt de l’activité
- et de prévenir les récidives .
Je préconise systématiquement une adaptation de l'activité jusqu'à la guérison .
Si l'arrêt est nécessaire je recommande toujours une ou plusieurs activités de remplacement.
J'accompagne la reprise après guérison, éventuellement avec un plan de réentrainement.
Ceci dans le cadre d'un travail en équipe avec d'autres professionnels de santé, sélectionnés pour leur haut niveau d'exigence et de compétence.
J'attache une attention toute particulière à la prévention des récidives par l’éducation et l'information des patients sur les causes de leurs problèmes.
Cette approche résulte de ma longue expérience de la médecine du sport et en particulier du suivi médical des sportifs de haut niveau. Mais aussi de mes recherches dans le domaine des causes des symptômes, des interactions entre les différents systèmes de l'organisme et aussi entre l'organisme, les habitudes de vie et l’environnement, au sens large, du patient .
Elle a été influencée par mes formations complémentaires ( Cf partie "Cursus") et mes échanges avec d'autres thérapeutes, médecins et auxiliaires médicaux (podologues, orthoptistes, optométristes, dentistes, ostéopathes, kinésithérapeutes, psychologues, psychiatres, enseignants de yoga ou de chant etc...).
Ma pratique sportive personnelle intensive depuis l’enfance et les blessures, les soins reçus et les interventions subies dans ce cadre ont également contribué à ma compréhension des pathologies et du ressenti des personnes qui souffrent de leur appareil locomoteur .
CURRICULUM VITAE :
Ancien médecin adjoint au service médical du Centre d'entrainement pour sportifs de haut niveau du CREPS de Toulouse.
Ancien médecin attaché au service de médecine du sport du CHU de Toulouse, au Centre d'entrainement en altitude pour sportifs de haut niveau de Font-Romeu, au Centre médico-sportif municipal de Toulouse.
Chargé de cours à la faculté de médecine de Toulouse (Capacité de Médecine du sport : Cours sur "Sport, Enfant et Adolescent" )
Chargé de cours à la faculté des sciences odontologiques de Toulouse ( Diplôme d'Occlusodontie : Cours sur "Approche intégrative en odontologie")
Ancien chargé de cours à la faculté de médecine de Toulouse (Deuxième cycle d'études médicales : Cours sur "Médecine du sport")
Ancien chargé de cours à l’Institut de formation en Psychomotricité de l’Université Paul Sabatier (Anatomie de l’appareil locomoteur), au CREPS de Toulouse (divers cours de Médecine, Physiologie et Nutrition du sport pour les Brevets d’État d’Éducateur Sportif), à l’école de kinésithérapie de Toulouse et au CEFIPS (diplômes de Kinésithérapie du sport), à l’école d’infirmières de Toulouse (Traumatologie de terrain) et pour la DRJS Midi-Pyrénées (Physiologie des activités physiques).
Ancien médecin des Équipes de France de Triathlon Longue Distance (IronMan), de Rugby à XIII et de Mono-palme.
Ancien médecin Fédéral régional LUTTE, ESCALADE, TRIATHLON, MONOPALME
Ancien médecin du Stade Toulousain XV, de l’US Colomiers XV, du Toulouse Olympique XIII.
Ancien médecin consultant de la Fédération Française d’Escalade (F.F.M.E.)
Ancien médecin au TEC XV, TOEC Natation, au Sport-études Natation de Toulouse et au Toulouse Triathlon.
Médecin de l'équipe de Pirogue de mer (Va'a) du club Fare Ara (Ile de Huahine -Tahiti) pour la préparation de Hawaiki Nui Va'a 1998.
Médecin du Raid Toulouse-Barcelone (Course à pied par équipes) 1988-1992
Ancien responsable de la rubrique médicale de la revue « Toute la natation »
Médaille de Bronze de la Fédération Française d'études et de sports sous-marins (FFESSM)
Sports Pratiqués :
Course de fond, Course en montagne, Natation, Cyclisme, Triathlon, Ski de fond, Musculation, Elliptique, Ergomètre de Ski de fond (Ski-Erg*), Plongée autonome (N II ), Apnée dynamique, Ski Alpin, Judo.
INFORMATION COVID - Important
Différentes sources officielles ont confirmé le risque réel, de MYOCARDITE ( Inflammation du muscle cardiaque ) et de PÉRICARDITE ( Inflammation de l’enveloppe du muscle cardiaque ) dans les 10 à 15 jours qui suivent la VACCINATION COVID.
Ces maladies , d’après les mêmes sources, sont le plus souvent bénignes et guérissent en général spontanément. Mais elles peuvent aussi avoir des conséquences graves, imprévisibles et définitives pour le coeur. Voire entrainer une mort subite à l'effort.
Elles semblent toucher surtout les plus jeunes , 12-35 ans et plus particulièrement les 16-25 ans et surtout les hommes, mais pas seulement.
Elles semblent être plus fréquentes avec le vaccin Moderna. Et surtout pour les deuxièmes doses.
Elles peuvent se manifester A L’EXERCICE OU MÊME DANS LA VIE COURANTE :
- par un ESSOUFFLEMENT ANORMAL,
- une FATIGUE ANORMALE
- ou des DOULEURS DANS LA POITRINE,
mais peuvent aussi être TOTALEMENT SILENCIEUSES et n’entrainer AUCUN SYMPTÔME.
OR, PRATIQUER une ACTIVITÉ PHYSIQUE, SURTOUT INTENSIVE OU DE COMPÉTITION, AVEC une MYOCARDITE ou une PÉRICARDITE, entraine une AUGMENTATION IMPORTANTE du RISQUE DE MORT SUBITE A L’EFFORT
C’est d’ailleurs pourquoi, dans les recommandations des CARDIOLOGUES du SPORT, il est formellement DÉCONSEILLE de PRATIQUER UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE quand on a de la FIÈVRE ou des COURBATURES, dans les infections virales saisonnières, car elles peuvent elles aussi s’accompagner d’une myocardite ou d’une péricardite silencieuse.
Bien entendu ce risque existe aussi quand on est infecté par le SARS COV 2 (COVID 19). En effet, la COVID peut aussi provoquer des MYOCARDITES ou PÉRICARDITES qui peuvent être, là aussi, TOTALEMENT SILENCIEUSES. C'est pourquoi il est totalement déconseillé de pratiquer une activité physique quand on est infecté par le COVID.
Les sujets de ces classes d'âge ayant une létalité (risque de décès) liée au Covid extrêmement faible ( 0-19 ans : 0,0003% / 20-29 ans :0,003% / 30-39 ans : 0,011% {Ioannidis 2022} ), le rapport bénéfice-risque de la vaccination dans ces classes d'âge doit être soigneusement pesé chez des sujets en bonne santé de moins de 40 ans et tout sur-risque de décès lié à la vaccination doit être absolument évité.
Ainsi, compte tenu des données actuelles, il me parait tout aussi justifié de DÉCONSEILLER TOTALEMENT LA PRATIQUE D’UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE UN PEU INTENSIVE OU DE COMPÉTITION, voire de TOUTE ACTIVITÉ PHYSIQUE, dans les 10 à 15 JOURS QUI SUIVENT une VACCINATION COVID, en particulier chez les 12-35 ans, et particulièrement les hommes, en attente d’informations précises à ce sujet de la part des autorités médicales ou du gouvernement.
Ces maladies , d’après les mêmes sources, sont le plus souvent bénignes et guérissent en général spontanément. Mais elles peuvent aussi avoir des conséquences graves, imprévisibles et définitives pour le coeur. Voire entrainer une mort subite à l'effort.
Elles semblent toucher surtout les plus jeunes , 12-35 ans et plus particulièrement les 16-25 ans et surtout les hommes, mais pas seulement.
Elles semblent être plus fréquentes avec le vaccin Moderna. Et surtout pour les deuxièmes doses.
Elles peuvent se manifester A L’EXERCICE OU MÊME DANS LA VIE COURANTE :
- par un ESSOUFFLEMENT ANORMAL,
- une FATIGUE ANORMALE
- ou des DOULEURS DANS LA POITRINE,
mais peuvent aussi être TOTALEMENT SILENCIEUSES et n’entrainer AUCUN SYMPTÔME.
OR, PRATIQUER une ACTIVITÉ PHYSIQUE, SURTOUT INTENSIVE OU DE COMPÉTITION, AVEC une MYOCARDITE ou une PÉRICARDITE, entraine une AUGMENTATION IMPORTANTE du RISQUE DE MORT SUBITE A L’EFFORT
C’est d’ailleurs pourquoi, dans les recommandations des CARDIOLOGUES du SPORT, il est formellement DÉCONSEILLE de PRATIQUER UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE quand on a de la FIÈVRE ou des COURBATURES, dans les infections virales saisonnières, car elles peuvent elles aussi s’accompagner d’une myocardite ou d’une péricardite silencieuse.
Bien entendu ce risque existe aussi quand on est infecté par le SARS COV 2 (COVID 19). En effet, la COVID peut aussi provoquer des MYOCARDITES ou PÉRICARDITES qui peuvent être, là aussi, TOTALEMENT SILENCIEUSES. C'est pourquoi il est totalement déconseillé de pratiquer une activité physique quand on est infecté par le COVID.
Les sujets de ces classes d'âge ayant une létalité (risque de décès) liée au Covid extrêmement faible ( 0-19 ans : 0,0003% / 20-29 ans :0,003% / 30-39 ans : 0,011% {Ioannidis 2022} ), le rapport bénéfice-risque de la vaccination dans ces classes d'âge doit être soigneusement pesé chez des sujets en bonne santé de moins de 40 ans et tout sur-risque de décès lié à la vaccination doit être absolument évité.
Ainsi, compte tenu des données actuelles, il me parait tout aussi justifié de DÉCONSEILLER TOTALEMENT LA PRATIQUE D’UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE UN PEU INTENSIVE OU DE COMPÉTITION, voire de TOUTE ACTIVITÉ PHYSIQUE, dans les 10 à 15 JOURS QUI SUIVENT une VACCINATION COVID, en particulier chez les 12-35 ans, et particulièrement les hommes, en attente d’informations précises à ce sujet de la part des autorités médicales ou du gouvernement.
Liens d'intérêts
Ce site est hébergé par Docvitae moyennant un abonnement payant. Le Dr Thomas n'a aucun lien d'intérêt avec aucune entreprise médicale ou pharmaceutique . Il ne reçoit pas les visiteurs médicaux. Il n'accepte aucun cadeau d'aucune firme pharmaceutique.
Information obligatoire du Conseil National de l'Ordre des Médecins :
Charte applicable aux sites professionnels de médecins :
Le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) invite les internautes à faire preuve d’esprit critique sur toutes les publications en ligne. La confiance que nos concitoyens accordent aux informations émanant du corps médical doit donc être soutenue avec une attention particulière. C’est la raison pour laquelle le CNOM a demandé à tous les médecins qui publient leur propre site professionnel d’afficher les points qui suivent :
1-L’internaute doit pouvoir s’assurer que le site publiant des informations en santé est celui d’un médecin, s’il se présente comme tel. Le site professionnel du médecin doit faire apparaitre, dans la page d’accueil, un lien avec la rubrique Annuaire du site web du CNOM et un lien vers la page dédiée sur le site public du CNOM qui affiche les publications et recommandations ordinales relatives à la déontologie médicale sur le web.
2-Le site professionnel du médecin doit fournir des informations pratiques sur l’adresse, la spécialité, les titres reconnus, le mode d’exercice, les établissements de santé dans lesquels il intervient, les accès, la situation vis-à-vis des organismes de protection sociale.
3-Quand des informations en santé sont publiées sur ce site, les explications doivent être de nature purement informative sur les maladies, la prévention, les traitements, les techniques pratiquées. Le médecin doit présenter de façon objective les avantages et les éventuels inconvénients des actes, prescriptions, interventions. Il doit le faire de façon simple et pédagogique, et indiquer, le cas échéant, ses sources et références. Ces informations publiques peuvent venir compléter utilement celles qui auront été préalablement données à un patient lors d’une consultation. Dans ce cas, elles ne peuvent pas avoir vocation à les remplacer. Les dates de publication et/ou de mise à jour doivent être mentionnées.
4-Lorsque le médecin n’est pas à même d’assurer lui-même des mises à jour régulières sur son site professionnel, le CNOM recommande que les informations soient alors préférentiellement délivrées par la création de liens vers des sites d’informations du grand public qui n’ont aucun intérêt de nature marchande.
5-Lorsque le site publie, à titre d’illustration des propos, des images ou des photographies, aucune identification des personnes ne doit être possible. Ces documents ne doivent pas avoir une présentation qui serait de nature à laisser croire que le résultat escompté sera obtenu, ce qui serait une tromperie, quel que soit le domaine médical ou chirurgical concerné.
6-Le site ne doit pas faire de publicité, ni directe ni indirecte, pour le médecin* ou pour les organismes auxquels il prêterait son concours**.
7-Le site professionnel du médecin doit respecter strictement la confidentialité des données personnelles recueillies.
8-Le médecin doit déclarer sur ce site ses liens d’intérêts avec toute firme en relation avec le domaine de la santé et du soin. Le cas échéant, il précise le financement du site et celui de sa maintenance.
* Art R.4127-19 du Code de la santé publique
** Art R. 4127-20 du Code de la santé publique
Janvier 2014
SITE du Conseil de l'Ordre des Médecins : www.conseil-national.medecin.fr
ANNUAIRE du Conseil de l'Ordre des Médecins : http://www.conseil-national.medecin.fr/annuaire
DEONTOLOGIE MEDICALE SUR LE WEB : http://www.conseil-national.medecin.fr/article/ver...
http://www.conseil-national.medecin.fr/node/1392
1-L’internaute doit pouvoir s’assurer que le site publiant des informations en santé est celui d’un médecin, s’il se présente comme tel. Le site professionnel du médecin doit faire apparaitre, dans la page d’accueil, un lien avec la rubrique Annuaire du site web du CNOM et un lien vers la page dédiée sur le site public du CNOM qui affiche les publications et recommandations ordinales relatives à la déontologie médicale sur le web.
2-Le site professionnel du médecin doit fournir des informations pratiques sur l’adresse, la spécialité, les titres reconnus, le mode d’exercice, les établissements de santé dans lesquels il intervient, les accès, la situation vis-à-vis des organismes de protection sociale.
3-Quand des informations en santé sont publiées sur ce site, les explications doivent être de nature purement informative sur les maladies, la prévention, les traitements, les techniques pratiquées. Le médecin doit présenter de façon objective les avantages et les éventuels inconvénients des actes, prescriptions, interventions. Il doit le faire de façon simple et pédagogique, et indiquer, le cas échéant, ses sources et références. Ces informations publiques peuvent venir compléter utilement celles qui auront été préalablement données à un patient lors d’une consultation. Dans ce cas, elles ne peuvent pas avoir vocation à les remplacer. Les dates de publication et/ou de mise à jour doivent être mentionnées.
4-Lorsque le médecin n’est pas à même d’assurer lui-même des mises à jour régulières sur son site professionnel, le CNOM recommande que les informations soient alors préférentiellement délivrées par la création de liens vers des sites d’informations du grand public qui n’ont aucun intérêt de nature marchande.
5-Lorsque le site publie, à titre d’illustration des propos, des images ou des photographies, aucune identification des personnes ne doit être possible. Ces documents ne doivent pas avoir une présentation qui serait de nature à laisser croire que le résultat escompté sera obtenu, ce qui serait une tromperie, quel que soit le domaine médical ou chirurgical concerné.
6-Le site ne doit pas faire de publicité, ni directe ni indirecte, pour le médecin* ou pour les organismes auxquels il prêterait son concours**.
7-Le site professionnel du médecin doit respecter strictement la confidentialité des données personnelles recueillies.
8-Le médecin doit déclarer sur ce site ses liens d’intérêts avec toute firme en relation avec le domaine de la santé et du soin. Le cas échéant, il précise le financement du site et celui de sa maintenance.
* Art R.4127-19 du Code de la santé publique
** Art R. 4127-20 du Code de la santé publique
Janvier 2014
SITE du Conseil de l'Ordre des Médecins : www.conseil-national.medecin.fr
ANNUAIRE du Conseil de l'Ordre des Médecins : http://www.conseil-national.medecin.fr/annuaire
DEONTOLOGIE MEDICALE SUR LE WEB : http://www.conseil-national.medecin.fr/article/ver...
http://www.conseil-national.medecin.fr/node/1392
DENTS & ACTIVITÉS PHYSIQUES
Un bon état dentaire est très important pour la santé et l’état général de tout un chacun, en particulier pour les muscles et les tendons.
C’est encore plus vrai pour les sportifs, quel que soit leur niveau.
Des foyers infectieux latents, tels que :
Un bon équilibre des mâchoires est primordial pour une bonne posture du corps, c’est à dire une posture confortable, indolore, efficace et économe en énergie.
Ainsi, un déséquilibre des mâchoires ou trouble de l'occlusion (contacts non harmonieux entre les dents du haut et celles du bas) , peut se manifester par:
Et peut entraîner :
La fréquence de ces contrôles dépend de la vulnérabilité de chacun aux caries et aux problèmes de gencives On peut proposer, en accord avec le dentiste, tous les 6 mois pour les plus fragiles, tous les deux ou trois ans pour les chanceux qui n’ont jamais eu de problème dentaire et sinon, en moyenne, tous les ans.
Il est également judicieux d’évoquer un déséquilibre des mâchoires devant les douleurs ou symptômes inexpliqués décrits ci-dessus, quand tous les autres examens sont normaux.
Il faut alors consulter un dentiste spécialiste de l’occlusion.
C’est encore plus vrai pour les sportifs, quel que soit leur niveau.
Des foyers infectieux latents, tels que :
- une petite carie non encore détectée, car non douloureuse,
- une reprise de carie sous un plombage ou un composite anciens,qui est souvent et longtemps indolore.
- un kyste apical (kyste à la racine d’une dent dévitalisée),
- une parodontopathie ou « gingivite » (maladie inflammatoire des gencives qui se manifeste par des gencives irritées, qui saignent facilement et des dents qui se déchaussent)
- et encore plus un abcès dentaire qui ne s’est pas encore manifesté par des douleurs ou un gonflement, ce qui est très fréquent et peut durer longtemps.
- entraîner des infections à distance,
- favoriser la survenue de blessures: tendinites, claquages, déchirures, élongations musculaires,
- ou empêcher la guérison complète de ces blessures malgré un traitement bien conduit,
Un bon équilibre des mâchoires est primordial pour une bonne posture du corps, c’est à dire une posture confortable, indolore, efficace et économe en énergie.
Ainsi, un déséquilibre des mâchoires ou trouble de l'occlusion (contacts non harmonieux entre les dents du haut et celles du bas) , peut se manifester par:
- un serrement des dents anormalement fréquent ou intense (Bruxisme)
- avec ou sans grincement des dents la nuit
- une usure anormale des dents ,
- des douleurs inexpliquées des gencives, des dents, des mâchoires, de la face, en particulier le matin,
- un déchaussement des dents,
- des sensations d’oreille bouchée ou des crissements dans l’oreille (avec examen ORL normal),
- des blocages de la mâchoire,
Et peut entraîner :
- une diminution de la force des bras ou des jambes,
- des douleurs du dos (cervicales, dorsales ou même lombaires), en particulier au réveil,
- des douleurs des épaules, coudes ou avant-bras,
- des maux de tête partant souvent de la base du crâne et se propageant vers le dessus du crâne, parfois jusqu'au dessus ou derrière l’œil ou les yeux.
- des douleurs de la face,
- des vertiges,
- un sommeil non réparateur et une fatigue inexpliquée
- et parfois d'autres symptômes douloureux, très à distance de la mâchoire.
La fréquence de ces contrôles dépend de la vulnérabilité de chacun aux caries et aux problèmes de gencives On peut proposer, en accord avec le dentiste, tous les 6 mois pour les plus fragiles, tous les deux ou trois ans pour les chanceux qui n’ont jamais eu de problème dentaire et sinon, en moyenne, tous les ans.
Il est également judicieux d’évoquer un déséquilibre des mâchoires devant les douleurs ou symptômes inexpliqués décrits ci-dessus, quand tous les autres examens sont normaux.
Il faut alors consulter un dentiste spécialiste de l’occlusion.
L'importance de l'HYDRATATION pour tout le monde et plus particulièrement pour les sportifs...
Le corps humain est constitue à 70% d’eau. Le renouvellement de cette eau corporelle par les boissons permet de compenser les pertes, d'assurer ainsi une bonne hydratation des tissus et d’éliminer les déchets tout en soulageant le travail des reins: C’est pourquoi, en toute logique, le fonctionnement optimal de l’organisme et la prévention des maladies en rapport avec la déshydratation et l’accumulation des déchets sont fortement dépendants de nos apports liquidiens quotidiens.
C’est tout particulièrement vrai pour les muscles, les tendons et les disques vertébraux .
Ainsi, outre les phlébites, les « attaques » cérébrales ou cardiaques, les infections urinaires , les calculs rénaux et les cancers de la vessie (pour ne citer qu’eux), une hydratation insuffisante favorise la survenue des troubles musculo-squelettiques (TMS)*, tendinites, blessures musculaires et problèmes de disques au niveau des vertèbres. Les médecins en voient d’ailleurs souvent plus, en consultation, à la fin d’un été particulièrement chaud.
La couleur des urines est le meilleur indicateur pour évaluer en “temps réel” si l’hydratation est suffisante par rapport aux besoins: Lorsqu’on boit un volume de liquide adapté à nos besoins, par petites quantités, tout au long de la journée, on élimine régulièrement des urines claires et relativement abondantes. Si la consommation est insuffisante par rapport aux besoins, on urine peu et de couleur jaune foncé : ce qui est normal le matin au réveil mais déconseillé le reste du temps. C’est dans le cas d’apport insuffisant que le rein travaille beaucoup, contrairement à la croyance répandue.
Nos besoins quotidiens sont, en moyenne, de 3/4 de litre à un litre de liquide par jour (voire plus si l’atmosphère est chaude et humide) augmentés d’1/2 litre à 1 litre par heure de sport (apportés pendant et après le sport car on ne boit jamais suffisamment pendant l’activité) suivant l’intensité de l’effort et la température ambiante.
A contrario, il est inutile de consommer de grandes quantités de liquides de manière disproportionnée par rapport aux besoins, cela peut s’avérer très nocif :
A court terme, pendant un exercice prolongé, une consommation excessive d’eau pure (sans sucre) peut entrainer des accidents gravissimes.
A long terme, une hydratation excessive en permanence peut diminuer la capacité des reins à faire face à une déshydratation ponctuelle.
Seule la couleur des urines doit guider notre consommation optimale de liquide.
La soif est un signal d’alarme qui survient avec trop de retard pour prévenir efficacement les blessures, lombalgies et TMS et qu’il faut éviter, surtout en sport.
L’eau est l’unique boisson indispensable a l’être humain. Elle doit donc représenter la majeure partie des liquides ingérés ; c’est tout l’intérêt, en pratique, de la bouteille ou du bidon d’eau que l’on garde avec soi en permanence .On peut cependant compléter par des quantités modérées de thé ou de café, de jus de fruits, le bouillon ou la soupe, voire de temps en temps un ou deux verres de vin, comme l’autorise l’OMS (sauf pour les enfants et les femmes enceintes) mais pas avant de conduire!
Il faut en revanche éviter les boissons sucrées au quotidien. Elles ne sont utiles que pendant un effort prolongé. Quand elles sont consommées trop régulièrement hors sport, elles peuvent générer ou favoriser des carences en vitamines, le surpoids, l’obésité et le diabète
TMS *: C’est le nom qu’on donne aux douleurs en rapport avec le travail et non le sport.
C’est tout particulièrement vrai pour les muscles, les tendons et les disques vertébraux .
Ainsi, outre les phlébites, les « attaques » cérébrales ou cardiaques, les infections urinaires , les calculs rénaux et les cancers de la vessie (pour ne citer qu’eux), une hydratation insuffisante favorise la survenue des troubles musculo-squelettiques (TMS)*, tendinites, blessures musculaires et problèmes de disques au niveau des vertèbres. Les médecins en voient d’ailleurs souvent plus, en consultation, à la fin d’un été particulièrement chaud.
La couleur des urines est le meilleur indicateur pour évaluer en “temps réel” si l’hydratation est suffisante par rapport aux besoins: Lorsqu’on boit un volume de liquide adapté à nos besoins, par petites quantités, tout au long de la journée, on élimine régulièrement des urines claires et relativement abondantes. Si la consommation est insuffisante par rapport aux besoins, on urine peu et de couleur jaune foncé : ce qui est normal le matin au réveil mais déconseillé le reste du temps. C’est dans le cas d’apport insuffisant que le rein travaille beaucoup, contrairement à la croyance répandue.
Nos besoins quotidiens sont, en moyenne, de 3/4 de litre à un litre de liquide par jour (voire plus si l’atmosphère est chaude et humide) augmentés d’1/2 litre à 1 litre par heure de sport (apportés pendant et après le sport car on ne boit jamais suffisamment pendant l’activité) suivant l’intensité de l’effort et la température ambiante.
A contrario, il est inutile de consommer de grandes quantités de liquides de manière disproportionnée par rapport aux besoins, cela peut s’avérer très nocif :
A court terme, pendant un exercice prolongé, une consommation excessive d’eau pure (sans sucre) peut entrainer des accidents gravissimes.
A long terme, une hydratation excessive en permanence peut diminuer la capacité des reins à faire face à une déshydratation ponctuelle.
Seule la couleur des urines doit guider notre consommation optimale de liquide.
La soif est un signal d’alarme qui survient avec trop de retard pour prévenir efficacement les blessures, lombalgies et TMS et qu’il faut éviter, surtout en sport.
L’eau est l’unique boisson indispensable a l’être humain. Elle doit donc représenter la majeure partie des liquides ingérés ; c’est tout l’intérêt, en pratique, de la bouteille ou du bidon d’eau que l’on garde avec soi en permanence .On peut cependant compléter par des quantités modérées de thé ou de café, de jus de fruits, le bouillon ou la soupe, voire de temps en temps un ou deux verres de vin, comme l’autorise l’OMS (sauf pour les enfants et les femmes enceintes) mais pas avant de conduire!
Il faut en revanche éviter les boissons sucrées au quotidien. Elles ne sont utiles que pendant un effort prolongé. Quand elles sont consommées trop régulièrement hors sport, elles peuvent générer ou favoriser des carences en vitamines, le surpoids, l’obésité et le diabète
TMS *: C’est le nom qu’on donne aux douleurs en rapport avec le travail et non le sport.
ERGONOMIE de la POSITION de TRAVAIL à l’ORDINATEUR : Quelques conseils
Les postures inadaptées pour travailler tous les jours sur un ordinateur sont largement répandues et sont la cause de nombreuses pathologies (Maux de tête, douleurs cervicales, dorsales, lombaires, névralgies dans le bras, tendinites de l'épaule, du coude, du poignet... ).
Les 7 PRINCIPES DE BASE à connaitre pour travailler sans douleurs devant un écran :
1/ Position des FESSES : bien calées au fond du siège
2/ Position du DOS : bien appuyé contre le dossier.
En effet, pour quelle raison fabriquerait-on (et paierait-on) un dossier si ce n'est pour y appuyer notre dos, comme son nom l'indique? Autant, sinon, travailler sur un tabouret ou un ballon (Mais c'est nocif pour épaules et cervicales)
L'angle entre le tronc et les cuisses doit être ouvert, autour de 100°,105, voire 110° selon votre morphologie. JAMAIS à 90°: Il n'y a aucun angle droit dans le corps humain. C'est une valeur qui n'est définitivement pas physiologique ni biomécaniquement adaptée.
Dans cette position, on doit ressentir que les muscles du dos et du cou sont relâchés, le dos étant soutenu par le dossier.
Les fauteuils réellement ergonomiques ont un dossier légèrement incurvé vers l'arrière pour respecter la cambrure normale du dos . Cette cambrure du siège doit être réglable. Il est également nécessaire de pouvoir régler la résistance à l'inclinaison du dossier afin d'obtenir sans effort l’angle souhaité, en fonction de notre poids.
Ce sont ces réglages, quand ils sont adaptés à notre morphologie, qui vont nous permettre de sentir que notre dos est soutenu par le dossier sans que des muscles ne se contractent.
3/ Position des COUDES et des AVANT BRAS : posés sur les accoudoirs.
En effet, pour quelle raison fabriquerait-on (et paierait-on) des accoudoirs si ce n'est pour y appuyer nos coudes, comme leur nom l'indique? Autant, sinon, travailler sur une chaise.
Quand les coudes sont sur le bureau, cela décolle le dos du dossier, ce qui donne des tensions dans les cervicales et le cou, car la tête est en avant.
Quand seuls les avant bras sont sur le bureau, cela donne plutôt des tensions dans les épaules, car les coudes sont dans le vide et ont tendance a tirer les épaules vers le bas.
Ainsi, quand ces conditions ne sont pas remplies, on passe sa journée à alterner en permanence trois positions, qui chacune donnent des douleurs différentes :
- Le dos contre le dossier mais les coudes et les avant bras dans le vide,
- Les coudes sur le bureau mais le dos décollé du dossier,
- Les avant bras sur le bureau mais les coudes dans le vide…
4/ Réglage des ACCOUDOIRS :
Les accoudoirs doivent être réglés à la même hauteur que le plan du bureau.
Ils doivent être positionnés au contact et dans le prolongement du plan du bureau afin qu'il y ait continuité entre le plan du bureau et les accoudoirs .
A cet effet, les fauteuils ergonomiques doivent être dotés d’accoudoirs spéciaux et c’est peut-être le plus important :
- Ils sont plats, pour pouvoir soutenir confortablement nos avant-bras et nos coudes,
- Ils sont courts, pour ne pas trop nous éloigner du bureau,
- Ils sont réglables dans toutes les directions. En particulier en hauteur, mais aussi en largeur, pour pouvoir s’adapter à toutes les morphologies et tous les bureaux.
Ce sont ces réglages, quand ils sont adaptés à notre morphologie, qui vont nous permettre de sentir que nos avant-bras sont soutenus par les accoudoirs sans que les muscles de notre cou et de nos épaules ne se contractent.
5/ Position du Clavier et de la souris : Quand votre dos est bien calé dans le fauteuil, que vos coudes sont posés sur les accoudoirs réglés à la bonne hauteur et au bon écartement, il reste à positionner votre clavier et votre souris.
Il suffit alors de laisser tomber vos mains là ou elles se posent naturellement devant vous quand vous avez les coudes sur les accoudoirs: C’est là que doit se trouver votre clavier, c’est à dire pas bien loin du bord de la table. Les paumes de mains sont appuyées sur le bureau dans l'intervalle entre clavier et rebord du bureau.
Il faut privilégier les claviers ultra-plats, pas trop larges et les souris peu volumineuses .
Pour modifier facilement et durablement votre position de travail vous avez tout intérêt à fixer votre clavier au bon endroit avec de l’adhésif double face.
A partir de cette position, le principe est de ne jamais décoller les coudes des accoudoirs :
Pour passer du clavier à la souris, pivoter sur la pointe du coude appuyée sur l’accoudoir
Pour manipuler la souris , faire glisser l’avant bras à plat sur l’accoudoir.
6/ Distance de l’ECRAN : La nouvelle posture, qui respecte les principes ci-dessus, nécessite de rapprocher l’écran. En effet, avant, vous étiez penché en avant avec les avant-bras posés sur le bureau (angle tronc-cuisses fermé) et l’écran est donc maintenant trop loin puisque vous vous êtes reculé confortablement dans le siège.
Il faut donc avancer l’écran vers vous. Ce n’est pas la hauteur de l’écran par rapport aux yeux qui guide mais l’angle que forme votre regard avec l’horizontale: Il doit être légèrement incliné vers le bas, de 20° environ.
6/ Emplacement de l’ECRAN (ou des écrans):
Il doit être positionné autant que possible en face de vous . Mas il peut être légèrement décalé sur un coté pour voir un éventuel interlocuteur, (si vous travaillez avec du public) dont le siège sera légèrement décalé de l'autre coté.
- Si vous avez des documents à consulter, il vaut mieux les poser sur un lutrin à D ou à G du poste de travail et garder l’écran de face.
- Si vous devez écrire, mieux vaut vous décaler de 30 cm sur le coté de la main qui écrit, grâce aux roulettes de votre siège, pour écrire, afin de préserver l’ergonomie de votre poste de travail informatique.
- Il y a ainsi deux postes de travail à un bureau, un pour l'ordinateur, un pour l'écriture. Repousser le clavier en restant à la même place n'est pas une bonne idée, car la plupart du temps on oublie de le ramener à sa place pour taper.
- Si vous avez deux écrans, ils doivent être positionnés en face de vous. Si vous recevez du public, laissez un espace entre les deux pour voir votre interlocuteur.
- Si, dans cette configuration vous ne voyez pas bien et devez avancer la tête et le dos (donc quitter la position de référence) pour bien voir, il est alors nécessaire de consulter un(e) ophtalmologue ou un(e) optométriste pour un bilan visuel et/ou un(e) orthoptiste pour un bilan de convergence.
il serait également judicieux de faire intervenir un spécialiste de l’ergonomie visuelle (et non plus posturale) et de l’éclairage de votre poste de travail.
L’éclairage de votre poste de travail et de votre écran est en effet aussi important que votre position pour la prévention des TMS (troubles musculo-squelettiques) ou des troubles visuels et symptômes associés (maux de tête, yeux rouges ou secs, vision doubl …) liés au travail sur ordinateur.
7/ Si dans cette position vos pieds ne touchent pas le sol, alors utilisez un repose pieds.
Ainsi, en respectant ces 7 points :
Plus besoin de souris soit disant "ergonomiques" ou de tapis "ergonomiques" et autres repose-poignets qui ne sont, à mon sens , que de mauvaises solutions pour un problème bien réel.
Manipuler une souris verticale, par exemple, n'a rien de physiologique. C'est biomécaniquement inadapté. Le soulagement ne provient que du changement de position mais n'est pas recommandé sur la durée.
C'est aussi pourquoi il faut bannir les gros ballons et les sièges "suédois" ainsi que les bureaux assis/debout qui ne sont que de mauvaises réponses, biomécaniquement inadaptées, à une réelle problématique.
La clé de l'ergonomie étant, entre autres, la notion de points d’appuis.
Quand vous adoptez cette position, vous avez quatre points de soutien pour votre corps (Fesses, dos, les deux coudes) et des angles ouverts (dos/cuisses et bras/avant bras).
Cette position évite à vos muscles du dos d’avoir à maintenir en permanence votre dos comme quand votre dos est décollé du dossier, « à 90° ».
Dans cette position, c’est le dossier qui s'en occupe
- Cette position évite à vos muscles sur l’arrière du cou d’avoir à empêcher en permanence votre tête de tomber en avant : C’est ce qui se passe quand vos coudes sont sur le bureau.
Dans cette position, c’est l’alignement vertical de votre tête avec votre dos qui joue ce rôle.
- Cette position évite à vos muscles sur les cotés du cou (Trapèzes) d’avoir à retenir vos coudes et vos épaules qui tirent vers le bas : C’est ce qui se passe quand vos coudes sont dans le vide.
Dans cette position, ce sont les accoudoirs qui jouent ce rôle.
De ce fait, pas de contractions musculaires permanentes et donc plus de contractures .
C’est-à-dire, grâce à ces conseils, plus de contractures et de tensions dans les bras et les épaules, dans le cou et le dos, voire les mâchoires.
Plus de tendinites.
Plus de maux de têtes.
Plus de douleurs aux poignets, aux coudes ou aux épaules, rebelles à tous les traitements. Alors même que les examens, souvent répétés inutilement, sont toujours normaux ou quasiment ou alors que les anomalies constatées ne correspondent pas aux douleurs décrites.
Et si ce n’est pas le cas, c’est qu’il faut chercher une autre cause ailleurs…par exemple au niveau de la mâchoire (cf ci-dessus), de la vision ou de la convergence visuelle.
Ce qu’il faut PROSCRIRE :
- Les fesses posées au bord de l’assise et/ou les avant-bras posés sur le bureau (et non sur les accoudoirs) car cela nous force à nous pencher en avant et nous empêche donc de respecter les points 1 et 2.
- Les bureaux dont le plateau est en courbe (en demi-lune), qui sont un contre-sens ergonomique, car ils ne permettent pas de positionner le clavier au bon endroit, ni de reposer les paumes de mains sur le bureau.
- Les accoudoirs glissés sous le bureau ou les fauteuils sans accoudoirs car les avant-bras ne sont alors pas soutenus : il est très nocif, du point de vue ergonomique, de travailler sur ordinateur sans utiliser de points d'appuis pour les avant bras sur les accoudoirs et non sur le bureau.
- Être tourné sur un coté, c'est à dire ne pas être en face du clavier, de l'écran et du bureau. Cela induit forcément une position nocive, au moins pour un coté du corps.
- Monter le haut de l'écran à hauteur des yeux. Ce repère n'a pas de sens puisque la direction du regard va donc varier en fonction de la dimension de l'écran ! Ce n'est pas le matériel qui doit dicter la position mais la biomécanique, l’ergonomie visuelle et la morphologie individuelle.
Les 7 PRINCIPES DE BASE à connaitre pour travailler sans douleurs devant un écran :
1/ Position des FESSES : bien calées au fond du siège
2/ Position du DOS : bien appuyé contre le dossier.
En effet, pour quelle raison fabriquerait-on (et paierait-on) un dossier si ce n'est pour y appuyer notre dos, comme son nom l'indique? Autant, sinon, travailler sur un tabouret ou un ballon (Mais c'est nocif pour épaules et cervicales)
L'angle entre le tronc et les cuisses doit être ouvert, autour de 100°,105, voire 110° selon votre morphologie. JAMAIS à 90°: Il n'y a aucun angle droit dans le corps humain. C'est une valeur qui n'est définitivement pas physiologique ni biomécaniquement adaptée.
Dans cette position, on doit ressentir que les muscles du dos et du cou sont relâchés, le dos étant soutenu par le dossier.
Les fauteuils réellement ergonomiques ont un dossier légèrement incurvé vers l'arrière pour respecter la cambrure normale du dos . Cette cambrure du siège doit être réglable. Il est également nécessaire de pouvoir régler la résistance à l'inclinaison du dossier afin d'obtenir sans effort l’angle souhaité, en fonction de notre poids.
Ce sont ces réglages, quand ils sont adaptés à notre morphologie, qui vont nous permettre de sentir que notre dos est soutenu par le dossier sans que des muscles ne se contractent.
3/ Position des COUDES et des AVANT BRAS : posés sur les accoudoirs.
En effet, pour quelle raison fabriquerait-on (et paierait-on) des accoudoirs si ce n'est pour y appuyer nos coudes, comme leur nom l'indique? Autant, sinon, travailler sur une chaise.
Quand les coudes sont sur le bureau, cela décolle le dos du dossier, ce qui donne des tensions dans les cervicales et le cou, car la tête est en avant.
Quand seuls les avant bras sont sur le bureau, cela donne plutôt des tensions dans les épaules, car les coudes sont dans le vide et ont tendance a tirer les épaules vers le bas.
Ainsi, quand ces conditions ne sont pas remplies, on passe sa journée à alterner en permanence trois positions, qui chacune donnent des douleurs différentes :
- Le dos contre le dossier mais les coudes et les avant bras dans le vide,
- Les coudes sur le bureau mais le dos décollé du dossier,
- Les avant bras sur le bureau mais les coudes dans le vide…
4/ Réglage des ACCOUDOIRS :
Les accoudoirs doivent être réglés à la même hauteur que le plan du bureau.
Ils doivent être positionnés au contact et dans le prolongement du plan du bureau afin qu'il y ait continuité entre le plan du bureau et les accoudoirs .
A cet effet, les fauteuils ergonomiques doivent être dotés d’accoudoirs spéciaux et c’est peut-être le plus important :
- Ils sont plats, pour pouvoir soutenir confortablement nos avant-bras et nos coudes,
- Ils sont courts, pour ne pas trop nous éloigner du bureau,
- Ils sont réglables dans toutes les directions. En particulier en hauteur, mais aussi en largeur, pour pouvoir s’adapter à toutes les morphologies et tous les bureaux.
Ce sont ces réglages, quand ils sont adaptés à notre morphologie, qui vont nous permettre de sentir que nos avant-bras sont soutenus par les accoudoirs sans que les muscles de notre cou et de nos épaules ne se contractent.
5/ Position du Clavier et de la souris : Quand votre dos est bien calé dans le fauteuil, que vos coudes sont posés sur les accoudoirs réglés à la bonne hauteur et au bon écartement, il reste à positionner votre clavier et votre souris.
Il suffit alors de laisser tomber vos mains là ou elles se posent naturellement devant vous quand vous avez les coudes sur les accoudoirs: C’est là que doit se trouver votre clavier, c’est à dire pas bien loin du bord de la table. Les paumes de mains sont appuyées sur le bureau dans l'intervalle entre clavier et rebord du bureau.
Il faut privilégier les claviers ultra-plats, pas trop larges et les souris peu volumineuses .
Pour modifier facilement et durablement votre position de travail vous avez tout intérêt à fixer votre clavier au bon endroit avec de l’adhésif double face.
A partir de cette position, le principe est de ne jamais décoller les coudes des accoudoirs :
Pour passer du clavier à la souris, pivoter sur la pointe du coude appuyée sur l’accoudoir
Pour manipuler la souris , faire glisser l’avant bras à plat sur l’accoudoir.
6/ Distance de l’ECRAN : La nouvelle posture, qui respecte les principes ci-dessus, nécessite de rapprocher l’écran. En effet, avant, vous étiez penché en avant avec les avant-bras posés sur le bureau (angle tronc-cuisses fermé) et l’écran est donc maintenant trop loin puisque vous vous êtes reculé confortablement dans le siège.
Il faut donc avancer l’écran vers vous. Ce n’est pas la hauteur de l’écran par rapport aux yeux qui guide mais l’angle que forme votre regard avec l’horizontale: Il doit être légèrement incliné vers le bas, de 20° environ.
6/ Emplacement de l’ECRAN (ou des écrans):
Il doit être positionné autant que possible en face de vous . Mas il peut être légèrement décalé sur un coté pour voir un éventuel interlocuteur, (si vous travaillez avec du public) dont le siège sera légèrement décalé de l'autre coté.
- Si vous avez des documents à consulter, il vaut mieux les poser sur un lutrin à D ou à G du poste de travail et garder l’écran de face.
- Si vous devez écrire, mieux vaut vous décaler de 30 cm sur le coté de la main qui écrit, grâce aux roulettes de votre siège, pour écrire, afin de préserver l’ergonomie de votre poste de travail informatique.
- Il y a ainsi deux postes de travail à un bureau, un pour l'ordinateur, un pour l'écriture. Repousser le clavier en restant à la même place n'est pas une bonne idée, car la plupart du temps on oublie de le ramener à sa place pour taper.
- Si vous avez deux écrans, ils doivent être positionnés en face de vous. Si vous recevez du public, laissez un espace entre les deux pour voir votre interlocuteur.
- Si, dans cette configuration vous ne voyez pas bien et devez avancer la tête et le dos (donc quitter la position de référence) pour bien voir, il est alors nécessaire de consulter un(e) ophtalmologue ou un(e) optométriste pour un bilan visuel et/ou un(e) orthoptiste pour un bilan de convergence.
il serait également judicieux de faire intervenir un spécialiste de l’ergonomie visuelle (et non plus posturale) et de l’éclairage de votre poste de travail.
L’éclairage de votre poste de travail et de votre écran est en effet aussi important que votre position pour la prévention des TMS (troubles musculo-squelettiques) ou des troubles visuels et symptômes associés (maux de tête, yeux rouges ou secs, vision doubl …) liés au travail sur ordinateur.
7/ Si dans cette position vos pieds ne touchent pas le sol, alors utilisez un repose pieds.
Ainsi, en respectant ces 7 points :
Plus besoin de souris soit disant "ergonomiques" ou de tapis "ergonomiques" et autres repose-poignets qui ne sont, à mon sens , que de mauvaises solutions pour un problème bien réel.
Manipuler une souris verticale, par exemple, n'a rien de physiologique. C'est biomécaniquement inadapté. Le soulagement ne provient que du changement de position mais n'est pas recommandé sur la durée.
C'est aussi pourquoi il faut bannir les gros ballons et les sièges "suédois" ainsi que les bureaux assis/debout qui ne sont que de mauvaises réponses, biomécaniquement inadaptées, à une réelle problématique.
La clé de l'ergonomie étant, entre autres, la notion de points d’appuis.
Quand vous adoptez cette position, vous avez quatre points de soutien pour votre corps (Fesses, dos, les deux coudes) et des angles ouverts (dos/cuisses et bras/avant bras).
Cette position évite à vos muscles du dos d’avoir à maintenir en permanence votre dos comme quand votre dos est décollé du dossier, « à 90° ».
Dans cette position, c’est le dossier qui s'en occupe
- Cette position évite à vos muscles sur l’arrière du cou d’avoir à empêcher en permanence votre tête de tomber en avant : C’est ce qui se passe quand vos coudes sont sur le bureau.
Dans cette position, c’est l’alignement vertical de votre tête avec votre dos qui joue ce rôle.
- Cette position évite à vos muscles sur les cotés du cou (Trapèzes) d’avoir à retenir vos coudes et vos épaules qui tirent vers le bas : C’est ce qui se passe quand vos coudes sont dans le vide.
Dans cette position, ce sont les accoudoirs qui jouent ce rôle.
De ce fait, pas de contractions musculaires permanentes et donc plus de contractures .
C’est-à-dire, grâce à ces conseils, plus de contractures et de tensions dans les bras et les épaules, dans le cou et le dos, voire les mâchoires.
Plus de tendinites.
Plus de maux de têtes.
Plus de douleurs aux poignets, aux coudes ou aux épaules, rebelles à tous les traitements. Alors même que les examens, souvent répétés inutilement, sont toujours normaux ou quasiment ou alors que les anomalies constatées ne correspondent pas aux douleurs décrites.
Et si ce n’est pas le cas, c’est qu’il faut chercher une autre cause ailleurs…par exemple au niveau de la mâchoire (cf ci-dessus), de la vision ou de la convergence visuelle.
Ce qu’il faut PROSCRIRE :
- Les fesses posées au bord de l’assise et/ou les avant-bras posés sur le bureau (et non sur les accoudoirs) car cela nous force à nous pencher en avant et nous empêche donc de respecter les points 1 et 2.
- Les bureaux dont le plateau est en courbe (en demi-lune), qui sont un contre-sens ergonomique, car ils ne permettent pas de positionner le clavier au bon endroit, ni de reposer les paumes de mains sur le bureau.
- Les accoudoirs glissés sous le bureau ou les fauteuils sans accoudoirs car les avant-bras ne sont alors pas soutenus : il est très nocif, du point de vue ergonomique, de travailler sur ordinateur sans utiliser de points d'appuis pour les avant bras sur les accoudoirs et non sur le bureau.
- Être tourné sur un coté, c'est à dire ne pas être en face du clavier, de l'écran et du bureau. Cela induit forcément une position nocive, au moins pour un coté du corps.
- Monter le haut de l'écran à hauteur des yeux. Ce repère n'a pas de sens puisque la direction du regard va donc varier en fonction de la dimension de l'écran ! Ce n'est pas le matériel qui doit dicter la position mais la biomécanique, l’ergonomie visuelle et la morphologie individuelle.
Pourquoi il ne faut jamais pratiquer une activité physique INTENSE et/ou PROLONGeE sous anti-inflammatoire.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) c’est à dire autres que la Cortisone,
sont très utiles en cas de maladies inflammatoires telles que les rhumatismes inflammatoires ( spondylarthrite, polyarthrite, rhumatisme psoriasique etc…) .
Ils peuvent également être utiles dans les poussées inflammatoires des articulations (avec rougeur, chaleur, présence de liquide articulaire) ou de la colonne vertébrale (dans les sciatiques par exemple).
Mais :
Après quelques jours, on peut à la rigueur, prescrire des AINS, mais seulement en cas de réaction inflammatoire anormalement importante, par exemple un volumineux œdème.
Mais alors il faut que le médecin se demande quelle est la cause de cette réaction, en particulier s’il n’y a pas une lésion plus grave que celle diagnostiquée initialement.
Dans tous les cas il faut bien peser le rapport bénéfice/ risque.
En effet, il suffit de lire les notices pour constater qu’il vaut mieux ne pas prendre d’AINS si on n’en a pas vraiment besoin.
Dans beaucoup de cas les anti-douleurs comme le Paracétamol sont beaucoup plus adaptés et moins risqués.
D’autre part, beaucoup de douleurs chez les sportifs sont d’origine mécanique et/ou liées à des contractures musculaires, toutes pathologies dans lesquelles les AINS n’ont pas leur place.
Il vaut donc mieux, dans ces cas, privilégier :
Mais surtout il est formellement déconseillé de prendre des anti inflammatoires pendant l’activité physique, c’est à dire de prendre un AINS pour pouvoir pratiquer.
C'est encore plus vrai si cet exercice est intense et prolongé, par exemple en compétition, car c’est très risqué !
Plusieurs raisons à cela :
Cela peut doubler ou tripler le temps d’arrêt nécessaire ensuite pour guérir, voire rendre un traitement médical insuffisant et nécessiter une chirurgie.
Il vaut mieux renoncer à la course ou à l’entrainement prévus, pratiquer une activité physique de remplacement qui ne réveille pas les douleurs, consulter un médecin du sport, poser un diagnostic , traiter, guérir , reprendre l’entrainement…et fixer un nouvel objectif à ce moment-là seulement .
A - Des COMPLICATIONS RENALES :
Cela peut prendre la forme d’une glomérulonéphrite c’est à dire une inflammation destructrice au niveau du rein (qui peut entrainer secondairement une insuffisance rénale).
Cela peut aussi directement entrainer une insuffisance rénale aiguë.
Les séquelles peuvent aller jusqu’à l'insuffisance rénale chronique, et donc le « rein artificiel », c’est à dire la dialyse à vie.
C’est un effet secondaire connu des AINS sur le rein.
Ce risque est aggravé par l’exercice.
Il augmente aussi avec l’âge
Et également si l’on prend un traitement pour l’hypertension.
B - Des COMPLICATIONS DIGESTIVES :
Tout AINS entraine toujours des micro-saignements digestifs.
Cela peut aller jusqu’à des hémorragies digestives (estomac, intestin) chez certaines personnes prédisposées.
Or, toute activité physique un tant soit peu intensive ou prolongée entraine également des micro-saignements digestifs (c’est une des causes des déficiences en Fer qui sont plus fréquentes chez les sportifs d’endurance).
C’est pourquoi la combinaison des deux (AINS + sport) multiplie les risques d’hémorragie digestive grave à l’exercice intense et/ou prolongé.
C - Des complications liées à la COAGULATION SANGUINE :
Tous les AINS sont des fluidifiants sanguins, comme l’aspirine, à laquelle ils sont apparentés.
C’est à dire qu’ils peuvent augmenter, parfois de manière spectaculaire, la durée et l’importance d’un saignement lié à une plaie ou d’un hématome consécutif à un choc, une blessure musculaire ou encore une entorse.
Cela va donc aggraver les conséquences d’une chute, d’une blessure ou d’une entorse et rallonger le délai de guérison.
Et cela aggrave aussi les conséquences des saignements digestifs (cf ci-dessus).
D - Enfin , l’augmentation du risque d’ACCIDENT CARDIAQUE par tous les AINS, n’a été mise en évidence que relativement récemment et c’est une réalité.
Ce risque d’accident cardiaque est augmenté lorsqu’on fait du sport en prenant des AINS.
En conclusion :
Tout traitement efficace est susceptible d’entrainer, chez certaines personnes, des effets secondaires, parfois gravissimes.
Ces risques sont souvent aggravés par l’activité physique.
Tout traitement médicamenteux doit :
Les conséquences du non respect de cette démarche médicale peuvent être gravissimes et parfois irréversibles.
Elles seront toujours disproportionnées par rapport à un objectif sportif qui doit rester synonyme de préservation de la santé et de plaisir.
Donc, si vous avez besoin de prendre un AINS pour pouvoir faire du sport, changez vos plans et adaptez vous, votre santé en dépend !
sont très utiles en cas de maladies inflammatoires telles que les rhumatismes inflammatoires ( spondylarthrite, polyarthrite, rhumatisme psoriasique etc…) .
Ils peuvent également être utiles dans les poussées inflammatoires des articulations (avec rougeur, chaleur, présence de liquide articulaire) ou de la colonne vertébrale (dans les sciatiques par exemple).
Mais :
- Ils sont à éviter dans les traumatismes, surtout au début :
Après quelques jours, on peut à la rigueur, prescrire des AINS, mais seulement en cas de réaction inflammatoire anormalement importante, par exemple un volumineux œdème.
Mais alors il faut que le médecin se demande quelle est la cause de cette réaction, en particulier s’il n’y a pas une lésion plus grave que celle diagnostiquée initialement.
- Dans les tendinites, en l’absence de ténosynovite ( présence de liquide dans la gaine du tendon), l’utilité des AINS n'est pas prouvée.
- Dans les lésions musculaires, ils sont contre indiqués (risque d’aggravation de l’hématome par l’effet fluidifiant sanguin).
Dans tous les cas il faut bien peser le rapport bénéfice/ risque.
En effet, il suffit de lire les notices pour constater qu’il vaut mieux ne pas prendre d’AINS si on n’en a pas vraiment besoin.
Dans beaucoup de cas les anti-douleurs comme le Paracétamol sont beaucoup plus adaptés et moins risqués.
D’autre part, beaucoup de douleurs chez les sportifs sont d’origine mécanique et/ou liées à des contractures musculaires, toutes pathologies dans lesquelles les AINS n’ont pas leur place.
Il vaut donc mieux, dans ces cas, privilégier :
- les traitements "mécaniques" ( kinésithérapie, massages, ostéopathie douce, étirements etc…)
- et/ou les anti douleurs
- et/ou les médicaments à visée musculaire (décontracturants),
- associés à l’arrêt de l’activité qui a déclenché les douleurs.
- Il est alors toujours bénéfique de la remplacer par une autre activité qui ne réveille pas de douleur, en attendant la guérison et la reprise de l’activité habituelle. C’est toujours mieux que de ne rien faire pour un sportif. On peut toujours, sauf exception, trouver un sport adapté à la situation.
Mais surtout il est formellement déconseillé de prendre des anti inflammatoires pendant l’activité physique, c’est à dire de prendre un AINS pour pouvoir pratiquer.
C'est encore plus vrai si cet exercice est intense et prolongé, par exemple en compétition, car c’est très risqué !
Plusieurs raisons à cela :
- Tout d’abord, si vous avez une blessure ou une douleur, il est déraisonnable de prendre un traitement pour masquer le problème afin de faire la compétition ou l’entrainement prévus.
Cela peut doubler ou tripler le temps d’arrêt nécessaire ensuite pour guérir, voire rendre un traitement médical insuffisant et nécessiter une chirurgie.
Il vaut mieux renoncer à la course ou à l’entrainement prévus, pratiquer une activité physique de remplacement qui ne réveille pas les douleurs, consulter un médecin du sport, poser un diagnostic , traiter, guérir , reprendre l’entrainement…et fixer un nouvel objectif à ce moment-là seulement .
- D’autre part il existe des risques importants de complications graves, pouvant entrainer des conséquences irréversibles, causées par les AINS pendant l’exercice intense et/ou prolongé.
A - Des COMPLICATIONS RENALES :
Cela peut prendre la forme d’une glomérulonéphrite c’est à dire une inflammation destructrice au niveau du rein (qui peut entrainer secondairement une insuffisance rénale).
Cela peut aussi directement entrainer une insuffisance rénale aiguë.
Les séquelles peuvent aller jusqu’à l'insuffisance rénale chronique, et donc le « rein artificiel », c’est à dire la dialyse à vie.
C’est un effet secondaire connu des AINS sur le rein.
Ce risque est aggravé par l’exercice.
Il augmente aussi avec l’âge
Et également si l’on prend un traitement pour l’hypertension.
B - Des COMPLICATIONS DIGESTIVES :
Tout AINS entraine toujours des micro-saignements digestifs.
Cela peut aller jusqu’à des hémorragies digestives (estomac, intestin) chez certaines personnes prédisposées.
Or, toute activité physique un tant soit peu intensive ou prolongée entraine également des micro-saignements digestifs (c’est une des causes des déficiences en Fer qui sont plus fréquentes chez les sportifs d’endurance).
C’est pourquoi la combinaison des deux (AINS + sport) multiplie les risques d’hémorragie digestive grave à l’exercice intense et/ou prolongé.
C - Des complications liées à la COAGULATION SANGUINE :
Tous les AINS sont des fluidifiants sanguins, comme l’aspirine, à laquelle ils sont apparentés.
C’est à dire qu’ils peuvent augmenter, parfois de manière spectaculaire, la durée et l’importance d’un saignement lié à une plaie ou d’un hématome consécutif à un choc, une blessure musculaire ou encore une entorse.
Cela va donc aggraver les conséquences d’une chute, d’une blessure ou d’une entorse et rallonger le délai de guérison.
Et cela aggrave aussi les conséquences des saignements digestifs (cf ci-dessus).
D - Enfin , l’augmentation du risque d’ACCIDENT CARDIAQUE par tous les AINS, n’a été mise en évidence que relativement récemment et c’est une réalité.
Ce risque d’accident cardiaque est augmenté lorsqu’on fait du sport en prenant des AINS.
En conclusion :
Tout traitement efficace est susceptible d’entrainer, chez certaines personnes, des effets secondaires, parfois gravissimes.
Ces risques sont souvent aggravés par l’activité physique.
Tout traitement médicamenteux doit :
- être justifié par un diagnostic médical,
- être choisi en fonction d’un objectif thérapeutique
- en tenant compte du rapport bénéfice/risque
- et être accompagné de conseils d’utilisation,
- ce qui inclut la conduite à tenir par rapport à l’activité physique.
Les conséquences du non respect de cette démarche médicale peuvent être gravissimes et parfois irréversibles.
Elles seront toujours disproportionnées par rapport à un objectif sportif qui doit rester synonyme de préservation de la santé et de plaisir.
Donc, si vous avez besoin de prendre un AINS pour pouvoir faire du sport, changez vos plans et adaptez vous, votre santé en dépend !
PROTEINES et ACTIVITE PHYSIQUE
Les protéines sont des composants essentiels des muscles, des tendons , des ligaments, des os et autres tissus mais aussi au niveau microscopique, de nos gènes et de la "machinerie" cellulaire.
A - LES BESOINS EN PROTEINES :
=> Pour un sujet sédentaire, les besoins en protéines se situent autour de 0,6 à 0,8 g de protéine PURE par kilo de poids et par jour. (100 g de poisson ou de viande contiennent 15 à 20 g de protéine pure)
Mais pour les sportifs, les besoins sont différents :
1° Pour tout sportif suivant un entraînement régulier, même sans être sportif de haut niveau, les besoins en protéines sont augmentés (quel que soit le sport sauf dans les sports d’adresse), en proportions variables :
a) Selon le type de sport :
Du fait des Micro traumatismes musculaires (liés à l'actvité elle-même et non à des chocs violents ou à des blessures) dans certains sports (sports de course, sauts, sprints, haltérophilie, sports d’opposition et de combat)
Mais aussi des Macro traumatismes musculaires liés aux chocs directs (sports de contact et de combat ) ou aux traumatismes indirects (Blessures musculaires sans choc direct comme les déchirures et élongations).
Ces traumatismes entraînent des lésions musculaires micro ou macroscopiques que l'organisme doit réparer.
Cette réparation nécessite un apport en protéines « neuves » bien que l’organisme puisse aussi, dans une certaine mesure, « recycler » une partie des protéines abimées.
b) En fonction du nombre d’heures d’entraînement : Plus on s’entraine, plus les besoins augmentent, sauf dans les sports d’adresse comme le tir par exemple.
2° Pour tout sportif désirant augmenter la masse musculaire il faut également augmenter les apports en protéines, en complément d'un entraînement musculaire spécifique.
=> Les apports recommandés pour les sportifs se situent alors entre 1,4 grammes par kilo de poids et par jour (sports d'endurance) et 2 grammes par kilo de poids et par jour (musculation, rugby)
B - LA COUVERTURE DES BESOINS EN PROTEINES
1° Ces besoins peuvent être couverts, mais pas toujours, par une alimentation optimale, en particulier diversifiée sur le plan qualitatif et adaptée du point de vue quantitatif :
a) les aliments protéiques d’origine animale (Oeufs, poisson, viande, yaourt, fromage blanc, fromage) sont les plus aptes à remplir ce rôle
- par leur richesse en protéines (entre 15 et 20 g pour 100 g de viande, poisson ou oeufs et les fromages, 4g pour les yaourts, 8g pour le fromage blanc)
- et leur richesse en acides aminés essentiels c'est à dire indispensables.
- mais ils ont un coût écologique important.
- Et il vaut mieux choisir les moins gras.
b) les protéines végétales (légumes secs ou légumineuses = pois chiches, pois cassés, haricots, fèves, lentilles, ainsi que le soja et les céréales complètes)
- permettent de compléter l’apport protéique d’origine animale.
- Ils sont plus intéressants du point de vue écologique
mais
- leur concentration en protéines est moindre
- et elles sont associées à d’importantes quantités de glucides (sauf pour le soja).
- Les légumineuses et les céréales complètes sont déficitaires en un acide aminé essentiel ( différent pour chaque), ce qui nécessite de les consommer ensembles pour un apport équilibré en acides aminés essentiels.
Pour ces raisons, d’une manière générale, l’efficacité des protéines végétales dans l’organisme est moindre que celle des protéines animales.
c) Chez le sportif, les aliments protéiques sont nécessaires à chaque repas principal voire, dans certains cas, aussi au petit déjeuner.
2° Mais il arrive que dans des cas précis, l’alimentation ne suffise pas à elle seule :
- Quand les besoins sont très importants du fait d’un poids élevé (Par exemple les avants au Rugby, lanceurs de poids, de disque…) , d’un nombre important d’heures d’entrainement (sportifs de haut niveau), de la fréquence et de l’intensité des traumatismes (sports de contact et de combat) et donc difficiles à couvrir par l’alimentation seule.
- Quand il est nécessaire d’augmenter beaucoup la masse musculaire, en complément de la musculation spécifique.
- Quand l’appétit est insuffisant pour couvrir les apports (petits gabarits et importantes quantités d’entrainement avec ou sans macro-traumatismes)
Alors, et alors seulement, les compléments protéiques en poudre peuvent avoir un intérêt.
=> Les effets positifs des poudres protéiques sont donc de permettre des apports protéiques adaptés dans les cas ou ceux-ci ne peuvent être comblés par une alimentation naturelle optimale.
C - Les compléments protéiques en poudre et leur mode d’emploi :
Le médecin du sport pourra en prescrire certains
- après avoir évalué les besoins du sportif
- après l’avoir conseillé sur les possibilités d’optimiser ses apports alimentaires en protéines naturelles
- et après avoir constaté que les besoins n’étaient malgré tout pas couverts
1) Les protéines en poudre ne doivent donc pas se substituer à une alimentation adaptée et équilibrée sur le plan qualitatif et quantitatif mais seulement la compléter en fonction de besoins évalués correctement.
=> Cela nécessite un bilan alimentaire réalisé par un médecin nutritionniste (car un diététicien, qui peut aussi réaliser ce bilan, ne pourra pas prescrire les éventuelles analyses de sang nécessaires-voir ci-dessous).
2) Il faut se méfier de poudres du commerce ou disponibles sur internet dont la composition n’est pas contrôlée .
Elles peuvent contenir des toxiques qui peuvent être responsables d’effets nocifs à court ou long terme ou des anabolisants qui sont des produits interdits chez les sportifs et qui peuvent entrainer des effets secondaires, en particulier chez les femmes.
=> Il vaut donc mieux choisir des poudres disponibles en pharmacie qui donnent toutes les garanties de sécurité pour la santé. Les protéines du Lactosérum (certaines des protéines du lait) semblent être les plus efficaces.
3) L’objectif est de compléter l’apport protéique alimentaire.
=> Il vaut donc mieux utiliser des protéines en poudre à au moins 90% de protéines pour être cohérent avec l’objectif. Sinon ces poudres contiennent trop de sucres et/ou de graisses.
4) D’une manière générale, un apport important en protéines animales entraine un surcroît de travail pour le rein. Il n’a cependant jamais été prouvé que cela pourrait conduire à une insuffisance rénale. Par contre cela favorise la déshydratation.
5) Cela peut aussi favoriser la survenue de calculs dans les reins par augmentation de la production d’acide urique. Cet excès d’acide urique peut aussi favoriser les blessures chez le sportif.
=> Pour ces deux raisons il est donc indispensable d’assurer une bonne élimination par un important apport en eau (1,5 l à 3l par jour de liquide selon le climat et les quantités d’entrainement) pour obtenir des urines abondantes et claires tout au long de la journée.
Mais c’est déjà une nécessité pour tous les sportifs afin de prévenir la déshydratation, les blessures et favoriser la récupération.
6) Un apport important en protéines entraîne aussi une augmentation potentiellement nocive de l’acidité dans l’organisme.
=> Il faut la compenser par un apport complémentaire en fruits et légumes, en bicarbonates (eaux gazeuses bicarbonatées) et en citrates (citron et pamplemousse).
7) Les protéines en excès augmentent également le travail du foie.
=> Cela fait donc des raisons supplémentaires de consulter un médecin afin de contrôler par un bilan sanguin la fonction rénale en complément de celle du foie, et le niveau d’acidité de base de l’organisme avant tout régime hyper protéiné, qu’il soit seulement alimentaire ou avec complément en poudre.
En résumé :
Les protéines en poudre de bonne qualité n’ont pas d’effet nocif par elles mêmes. Elles peuvent être nocives par la mauvaise utilisation qui peut en être faite, conduisant à un excès d’apport global en protéines ou chez des personnes aux reins ou foie fragiles.
Il n’y a pas de risque particulier si l’on respecte toutes ces règles de bonne pratique de leur prescription, qui visent avant tout à éviter une excès global d’apport en protéines, et si on les achète en pharmacie.
Elles ne sont donc indiquées que :
A - LES BESOINS EN PROTEINES :
=> Pour un sujet sédentaire, les besoins en protéines se situent autour de 0,6 à 0,8 g de protéine PURE par kilo de poids et par jour. (100 g de poisson ou de viande contiennent 15 à 20 g de protéine pure)
Mais pour les sportifs, les besoins sont différents :
1° Pour tout sportif suivant un entraînement régulier, même sans être sportif de haut niveau, les besoins en protéines sont augmentés (quel que soit le sport sauf dans les sports d’adresse), en proportions variables :
a) Selon le type de sport :
Du fait des Micro traumatismes musculaires (liés à l'actvité elle-même et non à des chocs violents ou à des blessures) dans certains sports (sports de course, sauts, sprints, haltérophilie, sports d’opposition et de combat)
Mais aussi des Macro traumatismes musculaires liés aux chocs directs (sports de contact et de combat ) ou aux traumatismes indirects (Blessures musculaires sans choc direct comme les déchirures et élongations).
Ces traumatismes entraînent des lésions musculaires micro ou macroscopiques que l'organisme doit réparer.
Cette réparation nécessite un apport en protéines « neuves » bien que l’organisme puisse aussi, dans une certaine mesure, « recycler » une partie des protéines abimées.
b) En fonction du nombre d’heures d’entraînement : Plus on s’entraine, plus les besoins augmentent, sauf dans les sports d’adresse comme le tir par exemple.
2° Pour tout sportif désirant augmenter la masse musculaire il faut également augmenter les apports en protéines, en complément d'un entraînement musculaire spécifique.
=> Les apports recommandés pour les sportifs se situent alors entre 1,4 grammes par kilo de poids et par jour (sports d'endurance) et 2 grammes par kilo de poids et par jour (musculation, rugby)
B - LA COUVERTURE DES BESOINS EN PROTEINES
1° Ces besoins peuvent être couverts, mais pas toujours, par une alimentation optimale, en particulier diversifiée sur le plan qualitatif et adaptée du point de vue quantitatif :
a) les aliments protéiques d’origine animale (Oeufs, poisson, viande, yaourt, fromage blanc, fromage) sont les plus aptes à remplir ce rôle
- par leur richesse en protéines (entre 15 et 20 g pour 100 g de viande, poisson ou oeufs et les fromages, 4g pour les yaourts, 8g pour le fromage blanc)
- et leur richesse en acides aminés essentiels c'est à dire indispensables.
- mais ils ont un coût écologique important.
- Et il vaut mieux choisir les moins gras.
b) les protéines végétales (légumes secs ou légumineuses = pois chiches, pois cassés, haricots, fèves, lentilles, ainsi que le soja et les céréales complètes)
- permettent de compléter l’apport protéique d’origine animale.
- Ils sont plus intéressants du point de vue écologique
mais
- leur concentration en protéines est moindre
- et elles sont associées à d’importantes quantités de glucides (sauf pour le soja).
- Les légumineuses et les céréales complètes sont déficitaires en un acide aminé essentiel ( différent pour chaque), ce qui nécessite de les consommer ensembles pour un apport équilibré en acides aminés essentiels.
Pour ces raisons, d’une manière générale, l’efficacité des protéines végétales dans l’organisme est moindre que celle des protéines animales.
c) Chez le sportif, les aliments protéiques sont nécessaires à chaque repas principal voire, dans certains cas, aussi au petit déjeuner.
2° Mais il arrive que dans des cas précis, l’alimentation ne suffise pas à elle seule :
- Quand les besoins sont très importants du fait d’un poids élevé (Par exemple les avants au Rugby, lanceurs de poids, de disque…) , d’un nombre important d’heures d’entrainement (sportifs de haut niveau), de la fréquence et de l’intensité des traumatismes (sports de contact et de combat) et donc difficiles à couvrir par l’alimentation seule.
- Quand il est nécessaire d’augmenter beaucoup la masse musculaire, en complément de la musculation spécifique.
- Quand l’appétit est insuffisant pour couvrir les apports (petits gabarits et importantes quantités d’entrainement avec ou sans macro-traumatismes)
Alors, et alors seulement, les compléments protéiques en poudre peuvent avoir un intérêt.
=> Les effets positifs des poudres protéiques sont donc de permettre des apports protéiques adaptés dans les cas ou ceux-ci ne peuvent être comblés par une alimentation naturelle optimale.
C - Les compléments protéiques en poudre et leur mode d’emploi :
Le médecin du sport pourra en prescrire certains
- après avoir évalué les besoins du sportif
- après l’avoir conseillé sur les possibilités d’optimiser ses apports alimentaires en protéines naturelles
- et après avoir constaté que les besoins n’étaient malgré tout pas couverts
1) Les protéines en poudre ne doivent donc pas se substituer à une alimentation adaptée et équilibrée sur le plan qualitatif et quantitatif mais seulement la compléter en fonction de besoins évalués correctement.
=> Cela nécessite un bilan alimentaire réalisé par un médecin nutritionniste (car un diététicien, qui peut aussi réaliser ce bilan, ne pourra pas prescrire les éventuelles analyses de sang nécessaires-voir ci-dessous).
2) Il faut se méfier de poudres du commerce ou disponibles sur internet dont la composition n’est pas contrôlée .
Elles peuvent contenir des toxiques qui peuvent être responsables d’effets nocifs à court ou long terme ou des anabolisants qui sont des produits interdits chez les sportifs et qui peuvent entrainer des effets secondaires, en particulier chez les femmes.
=> Il vaut donc mieux choisir des poudres disponibles en pharmacie qui donnent toutes les garanties de sécurité pour la santé. Les protéines du Lactosérum (certaines des protéines du lait) semblent être les plus efficaces.
3) L’objectif est de compléter l’apport protéique alimentaire.
=> Il vaut donc mieux utiliser des protéines en poudre à au moins 90% de protéines pour être cohérent avec l’objectif. Sinon ces poudres contiennent trop de sucres et/ou de graisses.
4) D’une manière générale, un apport important en protéines animales entraine un surcroît de travail pour le rein. Il n’a cependant jamais été prouvé que cela pourrait conduire à une insuffisance rénale. Par contre cela favorise la déshydratation.
5) Cela peut aussi favoriser la survenue de calculs dans les reins par augmentation de la production d’acide urique. Cet excès d’acide urique peut aussi favoriser les blessures chez le sportif.
=> Pour ces deux raisons il est donc indispensable d’assurer une bonne élimination par un important apport en eau (1,5 l à 3l par jour de liquide selon le climat et les quantités d’entrainement) pour obtenir des urines abondantes et claires tout au long de la journée.
Mais c’est déjà une nécessité pour tous les sportifs afin de prévenir la déshydratation, les blessures et favoriser la récupération.
6) Un apport important en protéines entraîne aussi une augmentation potentiellement nocive de l’acidité dans l’organisme.
=> Il faut la compenser par un apport complémentaire en fruits et légumes, en bicarbonates (eaux gazeuses bicarbonatées) et en citrates (citron et pamplemousse).
7) Les protéines en excès augmentent également le travail du foie.
=> Cela fait donc des raisons supplémentaires de consulter un médecin afin de contrôler par un bilan sanguin la fonction rénale en complément de celle du foie, et le niveau d’acidité de base de l’organisme avant tout régime hyper protéiné, qu’il soit seulement alimentaire ou avec complément en poudre.
En résumé :
Les protéines en poudre de bonne qualité n’ont pas d’effet nocif par elles mêmes. Elles peuvent être nocives par la mauvaise utilisation qui peut en être faite, conduisant à un excès d’apport global en protéines ou chez des personnes aux reins ou foie fragiles.
Il n’y a pas de risque particulier si l’on respecte toutes ces règles de bonne pratique de leur prescription, qui visent avant tout à éviter une excès global d’apport en protéines, et si on les achète en pharmacie.
Elles ne sont donc indiquées que :
- dans des cas précis déterminés par un médecin compétent en sport et en nutrition.
- en complément de de l’alimentation naturelle
- après évaluation et optimisation nutritionnelle,
- après vérification de l’absence de contre indication,
- en quantités limitées
- adaptées à l‘individu et à sa pratique sportive,
- achetées en pharmacie
- accompagnées de conseils d’hydratation
- et de conseils d’augmentation des apports en fruits et légumes
Conduite à tenir lors d'un traumatisme sportif
En cas d’entorse, de blessure musculaire ou de traumatisme musculaire direct (type « béquille ») le traitement initial, sur les 3 à 4 premiers jours, est toujours le même.
Sa durée est à adapter en fonction de l’évolution de l’œdème et de l’hématome.
Sa rapidité de mise en œuvre contribue fortement à la rapidité de la guérison.
Plus elle est précoce (en particulier dans les premières minutes), plus la durée d'évolution sera raccourcie et donc plus la reprise du sport sera rapide :
- L’apparition d'une douleur musculaire ou articulaire lors d'une activité physique doit toujours conduire à l’ARRÊT de L’ACTIVITÉ pour éviter l’aggravation d'une éventuelle blessure.
- ÉVITER L’APPUI et la DOULEUR : Pour les membres inférieurs, s’il est impossible de marcher normalement : cannes anglaises(=béquilles). Pour le membre supérieur, mettre le bras en écharpe ou utiliser une attelle adaptée. Le but est de ne réveiller aucune douleur, signe d'aggravation de la blessure.
- Confectionner immédiatement ou le plus tôt possible un BANDAGE FORTEMENT COMPRESSIF autour de la zone blessée. Cela permet de limiter l'aggravation du gonflement en association avec le refroidissement. Quand la compression devient insupportable, en général au bout d'une dizaine de minutes, il faudra desserrer le bandage, mais pas trop, pour maintenir une certaine compression tout en permettant la circulation du sang.
En effet, ce bandage compressif devra être porté en permanence pendant 3 à 5 jours. Utiliser idéalement des bandes élastiques non collantes type BiFlex* ou, en attendant, une bande cohésive. Les bandes adhésives ne sont pas vraiment adaptées.
- REFROIDIR LA ZONE de manière efficace, toujours en association avec la compression : Pendant 10 à 20 minutes (jusqu'à ce que la glace ne soit plus froide), 3 à 6 fois par jour, pendant 3 à 5 jours autant que possible: Glace pilée dans une poche en plastique fin ou pack de glace réutilisable. Toujours protéger la peau d'un tissu sinon risque de brulure.
- L'application d'ARGILE sur la zone blessée, toujours sous la compression, la nuit, sera également utile.
- Mettre le plus souvent possible le membre blessé en position déclive, c'est-à-dire surélever son extrémité.
- Éventuellement, arnica 7 CH: 10 granules, le plus tôt possible, puis 3 granules 4 à 5 fois par jour pendant les trois premiers jours.
- Il ne faut jamais prendre d'anti-inflammatoires dans les suites immédiates d'un traumatisme musculaire car cela pourrait favoriser l'aggravation d'un hématome.
Cette prise en charge précoce permet d'attendre en toute sécurité quelques jours, afin de prendre un avis diagnostique auprès d'un médecin du sport, pour déterminer le traitement le plus adapté pour une reprise du sport la plus précoce possible, progressive; cela permet d' éviter les séquelles, les récidives et les rechutes.
LE REPOS EST NÉCESSAIRE mais JAMAIS SUFFISANT; Ce n'est pas un traitement.
En effet, toute blessure a un traitement spécifique, qui doit être commencé tôt, souvent de la rééducation par un kiné du sport.
- La pratique d’une activité physique de remplacement, qui ne réveille pas de douleur, est recommandée.
CURSUS
-Externe en Rhumatologie, Médecine Interne orientation Rhumatologique, Radiologie, Explorations fonctionnelles neurologiques
-Fonction d'Interne en Psychiatrie CH Montauban 1984 Dr Boscredon
-Service Militaire : Centre Hospitalier des Armées LARREY Toulouse - Service de Rhumatologie et Traumatologie médicale (Médecin Chef J.Bernard 1986 )
-Thèse de Médecine du sport :
"Évolution de la densité osseuse lors d'un entrainement physique intensif de trois mois (Légion Étrangère Castelnaudary) " Dr J.Bernard C.H.A. Larrey / Prof M.Garrigues Université Paul Sabatier Toulouse 1988
-Diplôme de Neurophysiologie, Prof JD Vincent Université Bordeaux II 1985
-Diplôme de Médecine du Sport, Prof M.Garrigues Université Paul Sabatier Toulouse 1986
-Diplôme de Traumatologie du Sport Prof M.Mansat Université Paul Sabatier Toulouse 1986
-Cours de Médecine Manuelle Orthopédique
Service de Rééducation Fonctionnelle Prof. C.F. Roques CHU Rangueil Toulouse 1988
-Diplôme de Nutrition du Sport Prof M.Garrigues Université Paul Sabatier Toulouse 1989
-Formation Nutrithérapie Prof M.Massol Université Paul Sabatier Toulouse 1991
-Formation Mésothérapie Ponctuelle Systématisée Prof Didier Mrejen Marseille 1992
-Diplôme de Médecine de Plongée Université Paul Sabatier Toulouse 1996
-Formation "les Chaines Musculaires" Méthode Leopold Busquet Toulouse 1999-2000
-Fonction d'Interne en Psychiatrie CH Montauban 1984 Dr Boscredon
-Service Militaire : Centre Hospitalier des Armées LARREY Toulouse - Service de Rhumatologie et Traumatologie médicale (Médecin Chef J.Bernard 1986 )
-Thèse de Médecine du sport :
"Évolution de la densité osseuse lors d'un entrainement physique intensif de trois mois (Légion Étrangère Castelnaudary) " Dr J.Bernard C.H.A. Larrey / Prof M.Garrigues Université Paul Sabatier Toulouse 1988
-Diplôme de Neurophysiologie, Prof JD Vincent Université Bordeaux II 1985
-Diplôme de Médecine du Sport, Prof M.Garrigues Université Paul Sabatier Toulouse 1986
-Diplôme de Traumatologie du Sport Prof M.Mansat Université Paul Sabatier Toulouse 1986
-Cours de Médecine Manuelle Orthopédique
Service de Rééducation Fonctionnelle Prof. C.F. Roques CHU Rangueil Toulouse 1988
-Diplôme de Nutrition du Sport Prof M.Garrigues Université Paul Sabatier Toulouse 1989
-Formation Nutrithérapie Prof M.Massol Université Paul Sabatier Toulouse 1991
-Formation Mésothérapie Ponctuelle Systématisée Prof Didier Mrejen Marseille 1992
-Diplôme de Médecine de Plongée Université Paul Sabatier Toulouse 1996
-Formation "les Chaines Musculaires" Méthode Leopold Busquet Toulouse 1999-2000
HONORAIRES
PAS DE CARTE BANCAIRE.
Accepte Chèques, Espèces et Virements Internet. Un distributeur de billets est accessible à 5 mn à pied du cabinet médical. Vous pourrez retirer des espèces APRES la consultation.
Pour ne pas retarder inutilement les patients suivants et par considération pour le médecin, veuillez avoir l'obligeance de préparer à l'avance votre carte vitale et votre moyen de paiement (Chèque ou espèces).
Vous comprendrez que le Dr Thomas souhaite pas attendre que vous les trouviez à la fin de la consultation.
TARIFS DES ACTES LES PLUS COURANTS PRIS EN CHARGE PAR LA CPAM :
* Consultations :
Avant 16 ans : 25 €
Après 16 ans :
Hors parcours de soins : 32 à 35 €.
Dans le parcours de soins : 30 €
Le Dr Thomas adresse dès que possible un courrier à votre médecin traitant pour information.
* Infiltrations :
Membre inférieur
- Hors parcours de soins : 35€
- Dans le parcours de soins : 30,82 €
Membre supérieur :
- Hors parcours de soins : 30 €
- Dans le parcours de soins :26,13 €
* Electrocardiogramme (En cas de signe d’appel cardiologique) : 36,53 €
TARIFS DES ACTES NON PRIS EN CHARGE PAR LA CPAM :
Les actes médicaux en rapport avec la nutrition, l’entrainement, les certificats de non contre-indication à la pratique d’un sport, les actes non motivés par un signe médical ne sont pas pris en charge par l’assurance maladie (Le Dr Thomas peut établir une note d’honoraires à destination de votre complémentaire santé) :
Certificat de non contre-indication au sport (Au cabinet médical) :
Sans électrocardiogramme : 45 €
Avec électrocardiogramme : 55 €
Plan d’entrainement, Nutrition : 50 € à 60 €
En savoir plus
PAS de CARTE BANCAIRE
Accepte les chèques et les espèces ainsi que les virements internet
Un distributeur de billets est accessible à 5 mn à pied du cabinet médical
Tiers payant pour CMU et ACCIDENTS DU TRAVAIL seulement.
Dans les autres cas, il est possible d'encaisser votre chèque à une date de votre choix sur demande (délai moyen de remboursement avec la carte vitale : 3 jours ouvrés)
Accepte Chèques, Espèces et Virements Internet. Un distributeur de billets est accessible à 5 mn à pied du cabinet médical. Vous pourrez retirer des espèces APRES la consultation.
Pour ne pas retarder inutilement les patients suivants et par considération pour le médecin, veuillez avoir l'obligeance de préparer à l'avance votre carte vitale et votre moyen de paiement (Chèque ou espèces).
Vous comprendrez que le Dr Thomas souhaite pas attendre que vous les trouviez à la fin de la consultation.
TARIFS DES ACTES LES PLUS COURANTS PRIS EN CHARGE PAR LA CPAM :
* Consultations :
Avant 16 ans : 25 €
Après 16 ans :
Hors parcours de soins : 32 à 35 €.
Dans le parcours de soins : 30 €
Le Dr Thomas adresse dès que possible un courrier à votre médecin traitant pour information.
* Infiltrations :
Membre inférieur
- Hors parcours de soins : 35€
- Dans le parcours de soins : 30,82 €
Membre supérieur :
- Hors parcours de soins : 30 €
- Dans le parcours de soins :26,13 €
* Electrocardiogramme (En cas de signe d’appel cardiologique) : 36,53 €
TARIFS DES ACTES NON PRIS EN CHARGE PAR LA CPAM :
Les actes médicaux en rapport avec la nutrition, l’entrainement, les certificats de non contre-indication à la pratique d’un sport, les actes non motivés par un signe médical ne sont pas pris en charge par l’assurance maladie (Le Dr Thomas peut établir une note d’honoraires à destination de votre complémentaire santé) :
Certificat de non contre-indication au sport (Au cabinet médical) :
Sans électrocardiogramme : 45 €
Avec électrocardiogramme : 55 €
Plan d’entrainement, Nutrition : 50 € à 60 €
En savoir plus
PAS de CARTE BANCAIRE
Accepte les chèques et les espèces ainsi que les virements internet
Un distributeur de billets est accessible à 5 mn à pied du cabinet médical
Tiers payant pour CMU et ACCIDENTS DU TRAVAIL seulement.
Dans les autres cas, il est possible d'encaisser votre chèque à une date de votre choix sur demande (délai moyen de remboursement avec la carte vitale : 3 jours ouvrés)
INFORMATIONS importantes a lire avant la consultation
PAS DE CARTE BANCAIRE.
ACCESSIBILITÉ HANDICAPES
PAS DE WC HANDICAPES
Le Docteur Thomas accepte les règlements par Chèques, Espèces et Virements Internet. Un distributeur de billets est accessible à 5 mn à pied du cabinet médical. Si besoin, vous pourrez retirer des espèces APRÈS la consultation, pour ne pas retarder le médecin et les autres patients.
Pour ne pas retarder inutilement les patients suivants et par considération pour le Dr Thomas, veuillez avoir l'obligeance :
-D'apporter avec vous les résultats des examens prescrits. En particulier veuillez imprimer ou télécharger dans votre téléphone au moins les comptes rendus des examens prescrits. Et apporter les images si on vous les a remises.
Sauf exception, les professionnels de santé n'envoient pas directement les résultats au Dr Thomas. Et, même quand c'est le cas, il arrive :
-qu'ils ne le fassent pas toujours
-ou qu'ils aient oublié
-ou que le courrier ou le mail ne soit pas arrivé pour des raisons obscures
-ou que le Dr Thomas ne les aie pas encore reçus quand vous viendrez en consultation.
-ou que son informatique soit en panne le jour ou vous venez...
Vous comprendrez que le Dr Thomas ne souhaite pas attendre pendant que vous les recherchez sur Internet ni le faire lui même pour vous.
Veuillez également avoir l'obligeance
- De préparer à l'avance votre carte vitale et votre moyen de paiement (Chèque ou espèces). Vous comprendrez que le Dr Thomas ne souhaite pas attendre pendant que vous les cherchez à la fin de la consultation.
-De connaitre ou de rechercher à l'avance le nom et le prénom de votre médecin traitant et son courrier éventuel.
Vous comprendrez que le Dr Thomas ne souhaite pas attendre pendant que vous les cherchez à la fin de la consultation.
En l'absence de ces informations, vous serez considéré "hors parcours de soins" par la CPAM. Cela signifie que vous serez moins bien remboursés (30%) et sur une base plus faible, avec un dépassement autorisé.
ACCESSIBILITÉ HANDICAPES
PAS DE WC HANDICAPES
Le Docteur Thomas accepte les règlements par Chèques, Espèces et Virements Internet. Un distributeur de billets est accessible à 5 mn à pied du cabinet médical. Si besoin, vous pourrez retirer des espèces APRÈS la consultation, pour ne pas retarder le médecin et les autres patients.
Pour ne pas retarder inutilement les patients suivants et par considération pour le Dr Thomas, veuillez avoir l'obligeance :
-D'apporter avec vous les résultats des examens prescrits. En particulier veuillez imprimer ou télécharger dans votre téléphone au moins les comptes rendus des examens prescrits. Et apporter les images si on vous les a remises.
Sauf exception, les professionnels de santé n'envoient pas directement les résultats au Dr Thomas. Et, même quand c'est le cas, il arrive :
-qu'ils ne le fassent pas toujours
-ou qu'ils aient oublié
-ou que le courrier ou le mail ne soit pas arrivé pour des raisons obscures
-ou que le Dr Thomas ne les aie pas encore reçus quand vous viendrez en consultation.
-ou que son informatique soit en panne le jour ou vous venez...
Vous comprendrez que le Dr Thomas ne souhaite pas attendre pendant que vous les recherchez sur Internet ni le faire lui même pour vous.
Veuillez également avoir l'obligeance
- De préparer à l'avance votre carte vitale et votre moyen de paiement (Chèque ou espèces). Vous comprendrez que le Dr Thomas ne souhaite pas attendre pendant que vous les cherchez à la fin de la consultation.
-De connaitre ou de rechercher à l'avance le nom et le prénom de votre médecin traitant et son courrier éventuel.
Vous comprendrez que le Dr Thomas ne souhaite pas attendre pendant que vous les cherchez à la fin de la consultation.
En l'absence de ces informations, vous serez considéré "hors parcours de soins" par la CPAM. Cela signifie que vous serez moins bien remboursés (30%) et sur une base plus faible, avec un dépassement autorisé.